Active Asset Allocation veut aider les institutionnels à mieux gérer les risques

Adina Grigoriu évoque son envie d’aider les institutionnels à gérer les risques, pour Elodie Witting, journaliste chez News Managers 

« Les investisseurs français doivent aujourd’hui aller au-delà de ce qu’ils ont considéré jusqu’à maintenant comme étant le risque. »

Des approches traditionnelles insuffisantes

 

Dans un environnement économique et boursier en crise, les approches traditionnelles ne suffisent plus. Une gestion basée simplement sur le volatilité, la VaR ou la CVaR est trop limitée. 

Adina explique : « les investisseurs doivent surtout se soucier de la marge de manoeuvre dont ils disposent. ». Ils doivent désormais se demander « combien suis-je prêt à prendre ? », et intégrer cet aspect dans la gestion de leur portefeuille.

 

Gérer les risques comme alternative

 

Active Asset Allocation a pour ambition d’aider les investisseurs institutionnels au sens large. Elle a notamment développé une approche basée uniquement sur la gestion des risques.

Celle-ci se positionne comme une alternative à la diversification et à l’allocation tactique, qui ne délivre pas les résultats attendus, selon Adina.

L’objectif d’AAA est d’accompagner les institutionnels dans le passage à une gestion des risques totale. Elle a notamment développé un modèle propriétaire, synthèse d’enseignements de la recherche financière.

 

2 propositions de gestion des risques

 

AAA offre aux institutionnels deux solutions de gestion des risques, adaptées à leurs besoins et contraintes :

  1. Le DARM (Dynamic Risk Management) qui repose sur une allocation dynamique entre un portefeuille de performance, et un portefeuille de protection.
  2. Le DALM (Dynamic Asset Liability Management) dont l’objectif est d’améliorer le taux de couverture du passif et diminuer les contributions.

 

Pour conclure, Adina se réjouit : « Notre expérience montre une diminution de 30 à 50 % des contributions sur dix ans par rapport à des approches standard comme la LDI, l’allocation fixe ou le « de-risking ». »

 

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